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![]() #5 : Lucile Peytavin - La Virilité : Combien ça Nous Coûte Vraiment ?dans ce nouvel épisode, je vous propose une conversation avec lucile peytavin, historienne et membre du laboratoire de l'égalité. en mars dernier, elle a publié un essai choc le coût de la virilité, dans lequel elle estime que les comportements associaux des hommes coûtent 95 milliards d'euros par an à l'etat. en france, les hommes sont surreprésentés dans toutes les catégories d’infractions : ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles et 96% de la population carcérale en france est composée d’hommes.
filles et garçons, ne grandissent pas avec les mêmes modèles, les mêmes injonctions et les mêmes attentes sociétales. alors que les filles sont très tôt éduquées à la gestion de leurs émotions et à l'empathie,les hommes grandissent avec une double injonction : obéir aux règles mais désobéir pour prouver qu'ils sont de "vrais hommes". la conclusion est sans appel : « on ne naît pas homme violent, on le devient. on ne naît pas femme pacifiste, on le devient ». pour retrouver lucile peytavin : hébergé par ausha. visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. dans ce nouvel épisode, je vous propose une conversation avec lucile peytavin, historienne et membre du laboratoire de l'égalité. en mars dernier, elle a publié un essai choc le coût de la virilité, dans lequel elle estime que les comportements associaux des hommes coûtent 95 milliards d'euros par an à l'etat. en france, les hommes sont surreprésentés dans toutes les catégories d’infractions : ils représentent 84 % des auteurs d’accidents de la route mortels, 90% des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de violences sexuelles et 96% de la population carcérale en france est composée d’hommes.
filles et garçons, ne grandissent pas avec les mêmes modèles, les mêmes injonctions et les mêmes attentes sociétales. alors que les filles sont très tôt éduquées à la gestion de leurs émotions et à l'empathie,les hommes grandissent avec une double injonction : obéir aux règles mais désobéir pour prouver qu'ils sont de "vrais hommes". la conclusion est sans appel : « on ne naît pas homme violent, on le devient. on ne naît pas femme pacifiste, on le devient ». pour retrouver lucile peytavin : hébergé par ausha. visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. |
Laurie Théron : Bienvenue sur le podcast Les Mariannes. Dans cette émission, que j’ai conçue pour vous aider à prendre votre place dans la vie publique de notre, société, je reçois des femmes politiques et des activistes qui inventent le monde de demain. Mon histoire... Voir plus