Santa Barbara, Une Ville De Légendes

dans ce nouvel épisode de backline, philippe dalgues nous invite à découvrir la scène musicale suédoise, avec un focus particulier sur l’influence du rock californien. bien que la suède soit connue pour son climat froid, les musiciens suédois ont su adopter et réinterpréter le son chaleureux et ensoleillé du rock californien, notamment celui des années 70 et 80. le programme débute avec le groupe streetlight, originaire de jonkoping, qui rend hommage aux grands noms du rock mélodique comme journey et toto, avec un nouveau morceau intitulé closer et un album à venir, night vision, prévu pour mars 2025.l’artiste andreas aleman , avec son album this is life, puise son inspiration dans le folk et le rock californien, notamment à travers des harmonies vocales semblables à celles de michael mcdonald. le groupe champlin williams friestedt, composé de musiciens suédois et américains, est également à l’honneur, avec des arrangements vocaux et instrumentaux inspirés de l’âge d’or du rock américain, en particulier de toto.le groupe state cows, qualifié de "yacht rock" suédois, poursuit la présentation avec son morceau i can’t figure out this love, issu de leur dernier album. ole borrud, un multi-instrumentiste norvégien, suit avec son titre she’s like no other, un mélange des influences des années 70 et d'une touche moderne. le programme se termine avec aspen creek, un groupe suédois dirigé par lars sasfund, dont le dernier album tomorrow take you home réunit des collaborations avec des artistes comme michael ruff et ole borrud.À travers cette exploration, backline nous montre que la suède est véritablement l'autre pays du son west coast, avec une scène musicale vibrante, influencée par les légendes du rock californien.

🎙 podcast : À la découverte de christopher cross 🎶embarquez pour un voyage sur la côte californienne à la rencontre de christopher cross, icône du soft rock des années 80. de ses débuts au texas à son ascension fulgurante avec des titres légendaires comme "ride like the wind" et "sailing", découvrez l’artiste qui a marqué toute une génération avec son son doux et envoûtant, emblématique du california sound.🔹 son premier album (1979) remporte un succès immédiat.🔹 "sailing", son plus grand hit, décroche 5 grammy awards.🔹 le mystérieux flamant rose, symbole incontournable de son univers.🔹 une carrière riche, des albums marquants et une influence toujours vivante.et pour prolonger l’expérience, avez-vous déjà écouté freedonia ? ce projet secret serait directement lié à christopher cross… 🎸📢 Écoutez maintenant et laissez-vous porter par la douceur du yacht rock !une émission proposée par philippe dalgues

aujourd'hui, nous nous penchons sur l'histoire d'un chanteur populaire que nous venons malheureusement de perdre.herbert léonard... bien sûr, vous le connaissez. c'est un chanteur des années 80, et son tube "pour le plaisir" vous l'avez sûrement entendu des milliers de fois. mais saviez-vous que sa carrière avait débuté bien plus tôt, au milieu des années 60 ? À l'époque, il était guitariste dans un groupe de rock et s'était déjà fait remarquer en se classant en bonne position dans les hit-parades dès 1966.voici l’histoire d'herbert léonard.une émission proposée par philippe dalgues

bienvenue dans ce nouvel épisode de backline : les coulisses de la musique. aujourd'hui, nous plongeons dans l’histoire fascinante d’un artiste qui a marqué la musique pour l’éternité : ben e. king et son tube inoxydable stand by me.ben e. king, de son vrai nom benjamin earl nelson, est né le 28 septembre 1938 à henderson, en caroline du nord. très tôt, il trouve sa voie dans la musique, en chantant dans des chœurs gospel.À l’âge de 9 ans, ses parents déménagent à new york, dans le quartier mythique de harlem, où il rejoint plus tard des groupes de doo-wop au lycée, une scène musicale en pleine effervescence.mais c’est en 1958 qu’il rencontre un tournant décisif dans sa carrière. il rejoint le groupe five crowns, avec lequel il va connaître ses premiers succès.un jour, lors d’un concert à l’apollo theater de new york, les five crowns partagent la scène avec un groupe légendaire : les drifters. le chanteur principal vient de quitter le groupe, et c’est là que le manager des drifters, clyde mcphatter, séduit par la voix de ben e. king, décide d’un coup de génie – ou peut-être une « petite imposture » musicale – de remplacer tous les membres des drifters par les five crowns, tout en conservant le nom.quelques mois plus tard, en 1961, ben e. king quitte le groupe et signe chez atlantic records, l’une des maisons de disques les plus influentes de l’époque. c’est là qu’il adopte définitivement son nom de scène : ben e. king. et c’est cette même année qu’il enregistre stand by me, une chanson qui va bouleverser l’histoire de la musique.une émission proposée par philippe dalgues

aujourd’hui alors que la lumière médiatique se rallume autour d’un biopic porté par thimoté chalamet, nous allons revenir sur l’un des morceaux les plus emblématiques de l’histoire de la musique contemporaine : "like a rolling stone" de bob dylan. une chanson qui a secoué l’industrie musicale et changé le cours de l’histoire de la chanson populaire. si vous aimez bob dylan, l’histoire de la musique contemporaines et les anecdotes de création , cet épisode est pour vous !nous sommes en 1965. bob dylan, est à l’apogée de sa carrière de chanteur et il décide de prendre un tournant radical. après avoir chanté pour les droits civiques, la paix et l’amour, il décide d’explorer un nouveau territoire musical : le rock électrique. ce virage surprend ses fans, mais il marquera un moment clé dans l’histoire de la musique.À l'époque, dylan est un poète engagé, incarnation d'une époque. pourtant, il ressent l'envie de se réinventer, de défier les attentes et d’élargir ses horizons. il se tourne alors vers des sonorités plus électriques, non sans surprendre ses fans, et produit l' album highway 61 revisited, qui sera le l'aboutissement de cet élan porté par des idées de changement. ce disque donnera naissance à "like a rolling stone".une émission proposée par philippe dalgues

aujourd’hui nous allons explorer l’histoire d’un immense tube disco: y.m.c.a. des village people.le morceau a traversé les générations, portée par une mélodie festive et une chorégraphie devenue iconique.ymca est revenu sur le devant de la scène à l’ occasion de l’intronisation de donald trump en tant que 47 eme président des états unismais saviez-vous que ce tube mondial a été conçu par deux créateurs français? nous allons tout vous raconter : voici l’histoire de ymcaune émission proposée par philippe dalgues

aujourd’hui dans backline, nous allons parler d’un tube incontournable des années 80, mais saviez-vous que derrière le succès de take on me d’a-ha se cache une histoire un peu moins connue ? une histoire de résilience et de volonté de réussir qui commence sous un autre nom, avec une toute autre version de la chanson. retour sur l’évolution en trois actes de ce morceau mythique, de miss eerie à take on me." avant de devenir l'un des groupes les plus emblématiques des années 80, a-ha ne s'appelait pas encore ainsi. a leurs débuts les norvégiens se faisaient appeler bridges et c'est sous ce nom qu’ils ont enregistré la toute première version et à l’époque, la chanson s’appelait miss eerie, elle n’avait encore rien du succès éclatant que l’on connaît aujourd’hui." nous avons retrouvé toutes les versions pour les comparer.la première version fut enregistrée en 1982, elle peut être perçue comme une esquisse, un travail en cours, tant elle est surprenante. nous sommes très loin de la version que l'on écoute aujourd'hui. miss eerie était une chanson plus calme, un peu plus obscure, qui n’avait pas la couleur pop, énergique et colorée, qui allait faire la renommée du groupe...une émission proposée par philippe dalgues

plagiat ou simple coïncidence ? découvrez l'histoire fascinante derrière "on va s'aimer" dans le nouvel épisode de backline, les coulisses de la musique !la musique, cet univers de créativité et d'émotion, peut parfois devenir le théâtre de controverses juridiques. c'est exactement ce qui s'est passé avec la célèbre chanson "on va s'aimer". en décembre 2024, un verdict inattendu a bouleversé le monde de la musique : gilbert montagné, jusque-là crédité comme compositeur, ne touchera plus de droits d'auteur sur ce morceau iconique des années 80, vendu à 700 000 exemplaires. désormais, ces droits reviennent à michel cywie, compositeur d'"une fille de france", une chanson de 1976 interprétée par gianni nazzaro aujourd'hui disparu.mais les deux chansons sont elles réellement similaires? c'est que nous allons décrypter.une émission proposée par philippe dalgues

cette chanson reine des fêtes de noël a connu une gestation bien plus compliquée que ce à quoi on pourrait s'attendre.crée à l'origine en 1944 à marseille pour une comédie musicale qui sera censurée par l'occupant allemand, elle renaîtra de ses cendres en 1946 dans une version modifiée et grâce à tino rossi deviendra la chanson la plus vendue en france jusqu'à aujourd'hui.

a l’heure ou l’hiver vient frapper à la porte on vous emmène en voyage au soleil, en californie dans la ville de santa barbara qui vous le verrez abrite des légendes de l'industrie musicale au sein de ses habitants.cette ville de 90 000 habitants sur « the american riviera » est a 2 heures de route au nord de los angeles sur la mythique highway one.si vous l'avez connue, vous avez très certainement un sourire en coin en pensant à la série du même nom, "santa barbara" et ses 2137 épisodes de soap opéra diffusés entre 1984 et 1993 ou les familles californiennes capwell et lockridge se déchiraient allégrement en arborant toujours des brushing impeccables.mais vous allez l'entendre cette ville et son environnement musical sont à découvrir, en commençant par la version originale du morceau qui à servi de générique de la série. interprété par peabo bryson il n'a aucun lien avec le programme tv.deux habitants illustres de la ville, michael mcdonald et bill champlin ont eu une grande influence sur la "blue eyed soul" et le "yacht rock" deux courants musicaux qui reviennent sous le feu des projecteurs aujourd'hui.et puis quelques bons plans pour visiter la ville sont toujours bons a prendre.une émission proposée par philippe dalgues

aujourd’hui c’est une émission spéciale avec un invité et nous allons parler de rock !imaginez, la possibilité d’aller applaudir dans un même concert billy idol, les groupes queen, ac dc et bien d’autres sans avoir à vous rendre à l’autre bout du monde !c’est cette promesse d’un spectacle étonnant que vous propose « the giants of rock - tribute festival »the giants of rock est un concept de festival itinérant crée en 2017 qui met en scène des tribute bands nationaux et internationaux rendant hommage aux légendes du rocknous recevons aujourd’hui le fondateur lou bonnioune émission proposée par philippe dalgues

dans les coulisses des studios et des concerts il est un métier roi c’est celui des techniciens du son.l'amour du son, stéphane grandin tombé dedans dès son plus jeune âge, il nous raconte son riche parcours et ses expériences en nous faisant découvrir ce métier passion au croisement de l'art et de la maitrise de la technologie.stéphane grandin est également le directeur de l'école supérieur des métiers du son "acoustik" à montpellier.une émission proposée par philippe dalgues

tout commence au début des années 1980, à une époque où kenny rogers est déjà une star de la country, cherchant à explorer de nouveaux horizons musicaux, il fait appel à lionel richie, membre des commodores et star montante de la pop et du r&b.rogers admire son talent d’écriture et pense que leur collaboration pourrait donner naissance à quelque chose de spécial.il propose alors à richie d’écrire une chanson pour lui.le compositeur d’abord réticent fini par accepter, sans trop savoir quoi faire et surtout il ne se doute pas que cette demande marquera un tournant dans la carrière des deux hommes.leur collaboration prend forme dans un contexte assez particulier, car lionel richie terminera la chanson.... assis dans les toilettes du studio.une émission proposée par philippe dalgues

aujourd’hui, c’est le 11 septembre et je vous propose de plonger dans l’univers de bruce springsteen, et plus particulièrement dans l’une de ses chansons les plus émouvantes et symboliques : my city of ruins. cette chanson, qui a vu le jour en 2000, est un exemple parfait de la manière dont springsteen sait capturer l’essence des tragédies collectives tout en les rendant profondément personnelles.À l'origine, my city of ruins a été écrite en réponse au déclin de la ville d'asbury park, dans le new jersey, une ville qui tenait à cœur à springsteen. asbury park était un symbole de la désindustrialisation et de l’abandon urbain, avec ses bâtiments en ruines et ses rues désertes.la chanson deviendra un hymne hommage aux victimes du 11 septembre et à la reconstruction de l'amériqueune émission proposée par philippe dalgues.

aujourd'hui, nous allons plonger dans l'histoire de "wonderwall", l'un des plus grands succès du groupe britannique oasis, qui a marqué les années 90 et continue de résonner encore aujourd'hui.une histoire de rivalité, d'amour, et une mélodie intemporellecette chronique prend une saveur particulière avec l'annonce récente de la reformation d'oasis en 2025 pour une tournée mondiale tant attendue.une émission proposée par philippe dalgues

aujourd’hui, je vais vous parler d’une des chansons les plus emblématiques de la chanson française : l'hymne à l'amour d'Édith piaf. cette chanson, qui transcende les époques, raconte une histoire d’amour passionnée, mais derrière elle se cache également une histoire profondément personnelle et tragique.au-delà de l’histoire personnelle de piaf, l'hymne à l'amour a su toucher des millions de personnes à travers le monde. la chanson est devenue universelle, une déclaration d’amour éternelle. elle a été reprise dans de nombreuses langues et interprétée par des artistes de tous horizons. son succès est aussi lié à cette façon dont piaf fait corps avec la chanson : sa voix puissante, mais fragile, transmet une émotion brute, sans artifices.pour la cérémonie d'ouverture des jeux olympiques de paris, céline dion en a fait une interprétation magistrale.une émission de philippe dalgues

aujourd’hui, destination 1981 avec la cultissime chanson "bette davis eyes",tout le monde connait cette chanson interprétée par kim carnes avec son riff de synthé aussi répétitif qu’addictif et vous pensez que c’est une version originale...et bien ,pas du tout.pour remonter aux origines de la chanson il faut nous rendre en 1974, année d’écriture de bette davis eyes composée par donna weiss et jackie deshannon en hommage a l’actrice culte des années 30 à 50,la chanson sortira en 1975 sur l’album new arrangements de jackie deshannon, c’est a l’origine une chanson mêlant rythm and blues et country menée par des gimmicks de piano honkt tonkmais la chanson ne rencontrera aucun écho jusqu'à ce qu'elle soit redécouverte et modernisée.

bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de backline,francis cabrel est l’un des auteurs-compositeurs interprète préféré des français et ses compositions comptent aujourd’hui de nombreux chefs d’œuvre.mais parfois monsieur cabrel adapte des chansons avec le talent qu’on lui connaît, voici l’une de ses adaptations, reprise du tout aussi talentueux californien jackson browne.au cœur de la musique folk-rock américaine des années 70, jackson browne émerge comme une figure emblématique, un conteur d'histoires universelles encapsulées dans des mélodies accrocheuses. parmi son riche répertoire, la chanson "rosie" occupe une place particulière, non seulement pour son lyrisme et sa mélodie entraînante mais aussi pour son voyage au-delà des frontières, un voyage qui la verra renaître sous la plume de francis cabrel, l'un des plus grands noms de la chanson française.une émission proposée par philippe dalgues

voici l’histoire de la chanson « le bon vieux temps du rock'n'roll », le titre est sorti à contre courant, en pleine période disco et exprime l’envie de ne pas perdre les valeurs du rock dans cet univers de strass et de paillettes de la fin des années 70. mais revenons aux sources de la chanson, dans sa version originale, le titre fut enregistré par bob seger accompagné de son "silver bullet band".la chanson sera repérée par sylvie vartan pour en faire une reprise mais c'est johnny halliday qui l'enregistrera après avoir demandé à son vieux complice michel mallory de lui écrire les paroles françaises, le texte français colle à la personnalité de johnny mais reprend l’idée générale de la version de bob seger

bienvenue dans ce nouvel épisode de backline,dans le monde de la musique française, il existe des chansons qui transcendent les générations, des mélodies qui touchent les cœurs et résonnent avec une profonde signification.voici l'histoire de "puisque tu pars", une ballade intemporelle écrite et interprétée par le légendaire jean-jacques goldman.une émission animée par philippe dalgues

mario cablat est guitariste et il est l'un des plus brillants de la musique gypsie.après avoir collaboré avec la chanteuse cher, enrique iglesias, s'être produit dans le monde entier avec le groupe gipsyland et avoir fait plus récemment une tournée mondiale avec les gipsy kings, il sort son deuxième album " el tiempo pasa".il nous a réservé la primeur de la présentation de ce nouvel album qui sort le 23 février 2024 sur toutes les plateformes.une émission animée par philippe dalgues

aujourd’hui nous allons nous plonger dans une tradition qui a perduré de la fin des années 50 au milieu des années 80, l’adaptation française de tube internationaux,cette coutume qui consistait a prendre une chanson qui avait marché, le plus souvent dans les pays anglo-saxons et à l’adapter en français avec de nouvelles paroles et un interprète local.dans les années 60, les yéyés ont abusé de cette pratique en adaptant systématiquement la plupart des titres du billboard américain.aujourd’hui nous allons nous intéresser à la fin de cette ère, la mondialisation progressait, les radios locales émergeait et avec elles la musique se diversifiaient et les versions originales arrivaient jusqu’à nos oreilles.mais certains irréductibles ont cru bon de continuer les adaptations, parfois pour le meilleur, mais souvent pour le pire,une émission présentée par philippe dalgues

aujourd'hui, plongeons-nous dans l'histoire fascinante de la chanson emblématique "in the air tonight" de phil collins.vous pensez très certainement que ce morceau dont les premières paroles traduites : « je peux sentir quelque chose dans l’air ce soir, j’ai attendu ça toute ma vie » sont une ode à l’introspection et à l’amour , et bien pas du tout.voici l’histoire de la chanson, entre amertume du texte, innovations techniques et musicales pour succès mondial.une émission présentée par philippe dalgues

dans cette chronique où nous allons explorer l'histoire de l'emblématique chanson "africa" du célèbre groupe toto.cette chanson, sortie en 1982, est devenue un véritable classique de la pop-rock, apprécié et chanté par des millions de fans à travers le monde.la chanson "africa" de toto a effectivement failli ne jamais sortir en raison de certains obstacles rencontrés par le groupe lors de la création de l'album "toto iv", le processus de création de la chanson elle-même a également été un défi.lors de l'enregistrement de l'album, le groupe toto avait déjà en tête certains titres qui feraient partie de la liste des chansons.cependant, le label discographique n'était pas convaincu que "africa" avait le potentiel nécessaire pour devenir un succès. les membres du groupe ont donc dû lutter pour convaincre le label de l'inclure dans l'album.une émission animée par philippe dalgues

aujourd’hui remontons le temps en 1977 avec une chanson emblématique, si ce n’est la chanson emblématique de l’ère disco…voici l’histoire de stayin' alive, la chanson des bee gees le disco, john travolta, hollywood vous pensez que stayin' alive à vu le jour dans un studio de la cité des anges en californie...et bien pas du tout…c'est du made in france! et ce n'est pas tout!

vous pensiez que la chanson barbara ann a été composée par les beach boys?et bien pas du tout, cet hymne à la douceur de vivre californienne à été composé et enregistré pour la première fois sur la côte est des etats-unis.une émission présentée par philippe dalgues

dans ce nouvel épisode de backline, les coulisses de la musique, cap sur l’un des spectacles les plus extravagants et populaires de la planète : l’eurovision. À l’approche de l’édition 2025, qui se tiendra cette année à bâle, l’équipe du podcast vous emmène en voyage à travers des titres victorieux et inoubliables qui ont façonné la légende du concours.de la pop acidulée aux envolées lyriques, des looks extravagants aux revendications identitaires, l’eurovision est bien plus qu’un concours de chant : c’est un miroir musical et culturel de son époque. l’épisode débute en 1965 avec france gall et sa « poupée de cire, poupée de son », chanson culte signée gainsbourg, qui marquera un tournant dans la vie de la chanteuse… et de claude françois.direction ensuite la suède avec abba en 1974 et leur tube « waterloo » qui les propulse au rang de superstars internationales.l'angleterre entre dans la danse en 1981 avec bucks fizz et leurs fameuses jupes arrachées en direct, tandis que céline dion commence à écrire sa légende en 1988, en chantant pour la suisse.on fait un détour par l’univers rock de lordi en 2006, avant de vibrer avec ruslana, alexander rybak, ou encore conchita wurst, figure forte de la scène queer européenne.måneskin ramène le rock sur le devant de la scène en 2021, et loreen entre dans l’histoire avec une seconde victoire en 2023.et la france ? retour sur marie myriam et « l’oiseau et l’enfant », dernier sacre tricolore en 1977… avant de conclure sur un clin d’œil à louane, qui portera nos couleurs cette année à bâle.entre anecdotes, extraits musicaux et secrets de coulisses, philippe dalgues vous propose une plongée sonore dans un concours unique, qui ne cesse de se réinventer.À écouter d’urgence pour patienter jusqu’au prochain « france, twelve points! »

l’été 2025 a son tube. en tout cas, selon la rédaction de midi libre, il ne fait aucun doute : le titre élu n’est pas une ritournelle légère ou une chanson de plage… mais un morceau à fleur de peau.il s’appelle damiano david. depuis l’eurovision 2021, le charismatique chanteur de måneskin fait chavirer les foules. mais cette fois, il s’éloigne du groupe pour un projet solo. et il frappe fort avec un titre aussi mélodique que bouleversant : born with a broken heart.c’est le deuxième extrait d’un album encore sans date. le premier, silverlines, avait été dévoilé en septembre dernier. avec born with a broken heart, damiano franchit une nouvelle étape. il y évoque une période de grand vide intérieur.« j’avais peur d’avoir perdu la capacité à ressentir les choses, bonnes ou mauvaises », confie-t-il.ce sentiment d’absence, cette peur d’être devenu imperméable aux émotions, il les transforme en chanson. un morceau presque thérapeutique, intime, fragile, qui dévoile un visage plus nuancé de l’artiste.c’est cette sincérité qui touche. on y découvre un damiano moins flamboyant, plus vulnérable. il explique d’ailleurs qu’il n’avait jamais osé aborder cette part de lui-même dans l’écriture avec måneskin.ce besoin d’exprimer quelque chose de plus personnel, de plus brut, marque une vraie volonté d’émancipation artistique.d’ailleurs, ce mouvement solo ne lui est pas propre. victoria de angelis, la bassiste du groupe, a elle aussi lancé un titre, en duo avec anitta. ambiance techno, loin du rock électrique des débuts. pourtant, måneskin n’est pas en pause : leur concert à rock werchter cet été l’a prouvé — toujours aussi intense et spectaculaire.alors, born with a broken heart, simple parenthèse ou début d’un nouveau chapitre ? on ne sait pas encore. mais une chose est sûre : ce titre est bien plus qu’un tube d’été. c’est une chanson profonde, authentique, touchante. et c’est justement ce qui fait sa force.une émission proposée par philippe dalgues

bienvenue dans backline, les coulisses de la musique. aujourd’hui, on part en balade festive et colorée avec un groupe culte du rock alternatif français des années 80 et 90 : les négresses vertes. plus précisément, on va décortiquer leur tube solaire, ce classique de l’été qui s’appelle... voilà l’été.vous connaissez ? ce titre qui vous donne instantanément envie de lever les bras, de sentir le soleil sur la peau et de danser comme si c’était la fin du monde. eh bien, accrochez-vous, parce que cette histoire commence dans les années 87-88, en plein cœur de paris, dans le 19ème arrondissement.une émission proposée par philippe dalgues

sorti en 1989, le titre semble cocher toutes les cases du tube de l’été : un refrain entêtant, une danse sensuelle, une chanteuse charismatique — loalwa braz, brésilienne, voix douce et envoûtante — et un clip qui donne envie de siroter un orangina sur la plage. 15 millions de disques vendus, un carton mondial. et pourtant, derrière cette success story tropicale, se cache l’un des plus gros scandales de plagiat de l’histoire de la musique.tout commence avec un certain chico de oliveira, présenté comme le mystérieux compositeur du morceau. problème : personne ne le connaît. pas même les promoteurs du titre, dont jean karakos, qui prétend ne jamais l’avoir vu. pendant deux mois, les journalistes mènent l’enquête, jusqu’à ce que le monde dévoile la vérité : chico de oliveira n’existe pas. il s’agit en fait d’un pseudonyme pour olivier lorsac, l’un des producteurs français derrière kaoma.ce qu’olivier a fait ? il a ramené dans ses valises une chanson entendue lors d’un voyage au brésil : llorando se fue, des los kjarkas, un groupe de musiciens boliviens. et là, pas de doute possible : la lambada est un copier-coller musical. même mélodie, même progression. seuls quelques arrangements changent. la flûte de pan devient accordéon, les voix sont plus pop, et le son, clairement, est plus calibré pour les radios européennes.

bienvenue dans ce nouvel épisode de backline, les coulisses de la musique présenté par philippe dalguesl'été approche à grands pas, et pour marquer cette saison ensoleillée, nous avons voulu vous concocter une sélection des meilleurs tubes de l'été. après un vote réalisé auprès de notre communauté, un titre s’est largement démarqué : "tomber la chemise" du groupe zebda.et comme nous aimons faire les choses bien, nous avons contacté magyd cherfi, le chanteur et leader du groupe. il a accepté de revenir avec nous sur la genèse de ce morceau emblématique, dont le succès fulgurant a fini par éclipser le reste du répertoire de zebda… jusqu’à précipiter la fin du groupe.ecoutez cet épisode avec l’interview de magyd cherfi, réalisée par jérémy bernède de la rédaction du midi libre.

aujourd’hui dans backline, les coulisses de la musique, on vous propose une émission spéciale consacrée à un événement devenu incontournable pour tous les amateurs de rock et de métal : le hellfest.cette grande messe du metal se tiendra du 19 au 22 juin à clisson, en loire-atlantique. un festival hors normes, qui s’est imposé en quelques années comme l’un des plus grands rendez-vous rock d’europe. et preuve de son succès : il affiche complet encore cette année, toutes les places ayant été vendues depuis longtemps.pour en parler, j’ai le plaisir d’accueillir deux invités :🎸 charles villanueva, bassiste du groupe montpelliérain hypno5e, figure du metal progressif français.📰 et thomas lorentz, journaliste à midi libre, passionné de rock et de musiques extrêmes.et puis, nous aurons également le regard d’un fan de la première heure :🎧 philippe satger, musicien et ancien fidèle du hellfest, avec nous par téléphone. il y est allé chaque année entre 2007 et 2019… mais aujourd’hui, il a décidé de ne plus y retourner. pourquoi ce changement ? il nous racontera son point de vue, entre nostalgie et évolution du festival.une émission proposée par philippe dalgues

Épisode spécial – hommage à brian wilsonune émission présentée par philippe dalguesavec la disparition de brian wilson, c’est une page lumineuse de la pop américaine qui se tourne. compositeur de génie, architecte sonore visionnaire, il a offert au monde des chefs-d'œuvre comme god only knows ou good vibrations. pourtant, ce n’est pas de ces compositions signées de sa main dont nous allons parler aujourd’hui.dans cet épisode, nous revenons sur un titre à part : "barbara ann". un morceau qu’il n’a pas écrit, mais que les beach boys ont fait leur, en y insufflant cette énergie insouciante, ce parfum salé de liberté, ces california vibes qui ont façonné à jamais l’image du groupe.de sa naissance sur la côte est à sa renaissance solaire sur les plages de californie, barbara ann raconte une autre facette de l’histoire des beach boys : celle d’un groupe capable de s’approprier un simple morceau pour en faire un hymne à la joie de vivre.un voyage musical, de brooklyn à malibu, pour célébrer la légèreté, les harmonies, et ce génie collectif qui faisait battre le cœur des beach boys.