Réparer soi-même son véhicule : comment les français s’en sortent-ils ?

Auto

Les français sont-ils capables d'intervenir sur leur véhicule pour les petites opérations d'entretien courant ? Ou au contraire, sont-ils encore trop réticents, peu confiants dès lors qu'il s'agit de réparer soi-même sa voiture ? Afin de mieux comprendre les connaissances et habitudes d'auto-réparation des français, le fabricant allemand de pièces détachées MEYLE nous présente les résultats d'un sondage réalisé par OpinionWay, sur un échantillon de 1 000 personnes. Fort de plus de 24 000 références - dont plus de 5 000 pour les voitures électriques et hybrides - et présent dans 120 pays, le spécialiste dédié au marché de la rechange indépendante propose une gamme complète répondant à  différents besoins. L'étude a ainsi pour but de comprendre et d'analyser les compétences et les pratiques des français en matière de mécanique automobile et d'auto-réparation. Des pratiques rendues possibles, entre autres, par la disponibilité de telles pièces. Jean-Pierre Rodrigues, directeur MEYLE France, nous propose une entrée en matière : « Le vieillissement du parc automobile, combiné à  un pouvoir d'achat sous pression, pousse de plus en plus de consommateurs à  rechercher des pièces de qualité ». Les français et la mécanique automobile : du manque de connaissances au manque de confiance Quand il s'agit de mécanique automobile, les Français reconnaissent volontiers leurs limites. Selon l'étude « Les Français et le rapport à  la mécanique automobile » réalisée pour MEYLE, plus d'un Français sur deux (55%) estime avoir une connaissance limitée, voire nulle, en mécanique automobile. Le constat est sans appel : la majorité des automobilistes se sentent tout simplement incapables d'intervenir sur leur véhicule. Ainsi, 86% déclarent ne pas pouvoir réparer eux-mêmes leur voiture, et 58% se disent « totalement incapables » de le faire. Mais derrière ces chiffres se cache aussi et surtout un manque de confiance généralisé : 8 Français sur 10 n'ont pas suffisamment confiance en eux pour effectuer une réparation quelle qu'elle soit, même les plus simples. Les écarts entre profils sont par ailleurs assez notables : les hommes se déclarent nettement plus connaisseurs (44% jugent leur niveau moyen) que les femmes (27%). Mais quelle que soit la catégorie socioprofessionnelle ou la tranche d'âge, le constat demeure le même : la mécanique automobile demeure un domaine perçu comme technique, complexe, et réservé à  quelques initiés. Sans surprise, la très grande majorité préfère donc s'en remettre à  des professionnels en cas de problème : 73% des Français ont recours à  un garagiste en cas de pépin (dont 68% à  leur garagiste habituel). Ce réflexe illustre à  la fois la confiance accordée aux professionnels (60%), et la recherche d'un gain de temps en faisant réaliser ses travaux (82%). Ce recours quasi systématique au garage peut également s'expliquer par la nature des réparations concernées, qui touchent notamment à  la sécurité. Jean-Pierre Rodrigues souligne que « les ventes les plus importantes concernent les pièces de sécurité, notamment le châssis, la direction, ainsi que le freinage ». Des éléments en effet directement soumis à  l'usure, qui ne laissent place à  aucune alternative : ces pièces vitales, une fois usées et/ou défectueuses, doivent impérativement être remplacées pour garantir le bon fonctionnement du véhicule et la sécurité de ses occupants. L'auto-réparation : un potentiel économique et gratifiant, mais à  aborder avec prudence ( Lire la suite sur Turbo.fr )


Connectez-vous pour commenter.

✏️ Modifier le commentaire


© 2025 Lykhubs

Accueil
Mon Feed
Explorer
Publier
Rechercher
Tendances
Tendances
Profil
Mon espace
Groupes
Document sans nom