S'il faudra encore attendre pour découvrir les lignes de la toute première Ferrari électrique de l'histoire, on sait déjà  à  peu près tout la concernant. Voici ce qu'il faut retenir. L'électrique est un passage obligé, même chez les constructeurs de prestige. Mais ces derniers prennent leur temps, se creusent les méninges en interne afin de trouver la bonne formule, celle qui ne fera pas fuir les clients de la première heure, inquiets de ne plus entendre le feulement d'un bon moteur V8 ou le rugissement d'un V12. Chez Ferrari, le projet est déjà  bien avancé. À défaut d'admirer la plastique de celle qui fait déjà  bondir les puristes, le constructeur italien a souhaité partager de premières informations techniques. Et il a été plutôt généreux en la matière. Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés Ferrari Puissante mais pas indécente Pour sa première incursion dans le monde du silence, Ferrari a préféré la jouer raisonnable. Non pas que celle qui prend le nom de code d'Elettrica soit en aucun cas sous-motorisé mais on a vu plus fou chez certains rivaux. Chez BYD, la Yangwang U9 dépasse les 3 000 ch. Lotus annonce pour sa part plus de 2 000 ch pour son Evija. Pour la Ferrari Elettrica, il faudra “se contenter” de 1 000 ch en pic. Suffisant pour emmener la belle à  plus de 310 km/h. Quant aux accélérations, avec un 0 à  100 km/h promis en 2,5 secondes, elle navigue bien au-dessus de la production automobile ordinaire. ( Lire la suite sur Turbo.fr )